De 2011 à 2014, les recettes des APUL ont augmenté plus vite, en euros, que la valeur du PIB mais leurs dépenses ont progressé encore plus vite, surtout leurs dépenses de fonctionnement, si bien que leur déficit s’est creusé et que leur dette a poursuivi sa progression en pourcentage du PIB.
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De 2014 à 2019, les recettes des APUL ont augmenté moins vite, en euros, que la valeur du PIB, notamment parce que les transferts en provenance de l’Etat ont diminué. Leurs dépenses ont progressé encore moins vite, surtout leurs dépenses de fonctionnement, si bien que leur solde est devenu excédentaire et que leur dette a fini par diminuer en pourcentage du PIB.
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