Alors que Paris et Lyon comptent peu de maraîchers et d’éleveurs, les deux agglomérations multiplient les initiatives pour développer les circuits courts et la part de bio, durable et local dans leurs cantines.
D’un côté, Paris dont la restauration collective prépare 30 millions de repas par an, incluant écoles, crèches, Ehpad et restaurants administratifs.
Après trois plans « alimentation durable », la capitale est passée de 8 à 54 % d’approvisionnement bio ou durable, soit « la collectivité qui commande le plus de bio en France. Mais pas qu’en France… » souligne Audrey Pulvar, adjointe au maire chargée de l’agriculture, de l’alimentation durable et des circuits courts, une délégation inaugurée ce mandat. Objectif affiché : atteindre 50 % de bio ou durable local, soit cultivé à moins ...
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