Que retirez-vous de ces presque trois ans au CNFPT et à la tête de l’Inet ?
C’est beaucoup de plaisir, avec des équipes engagées, dans un établissement unique, le CNFPT, où se rencontrent les territoriaux. J’y ai été formé, d’abord comme attaché, puis administrateur territorial, puis stagiaire à l’Inet… De l’intérieur, j’ai retrouvé cet ADN qui a fait la territoriale : la décentralisation, la capacité à accompagner les élus locaux. La période a été particulièrement riche, avec les enjeux de transformation écologique, qui obligent à bouger à tous les étages et dans tous les métiers.
Qu’est-ce qui vous rend particulièrement fier ?
Je n’ai pas de fierté individuelle, mais j’ai le sentiment d’avoir contribué à être toujours en mouvement. Le CNFPT a été réorganisé dans sa dimension régionale ...
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Gazette des Communes