Incompréhension et mécontentement. Le principal train de mesures transposant le « Ségur de la santé » dans les filières sociale et médico-sociale de la territoriale a été la cible d’un feu nourri de critiques lors de la séance du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale (CSFPT) du 6 avril. « Il s’agit de primes, alors qu’on attendait des compléments de traitement indiciaire, et elles sont au bon vouloir de l’employeur, donc aléatoires », proteste Salima Guédouar, animatrice de la délégation CGT au CSFPT.
La déception est largement partagée. « Ces mesures ne sont pas obligatoires et elles n’ont pas de portée générale, alors que c’était l’engagement pris lors de la conférence des métiers de l’accompagnement social et médico-social du 18 février », déplore ...
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