« On a tendance à nous oublier dans les greniers ou les caves , donc on se fait assez facilement enfermer dans les mairies », peut-on lire dans les témoignages d’archivistes ayant participé à l’enquête menée par l’Association des étudiants et diplômés en archivistique d’Angers (AEDAA )(1). Une expérience qui n’est pas unique dans les verbatim recueillis lors de l’enquête, et qui en dit long sur l’invisibilité de ces professionnels.
L’angle mort de la profession
Publiée le 28 mars, cette enquête vise à cerner le profil et le parcours de ces archivistes, qui, comme l’indique leur appellation, sillonnent leurs territoires pour traiter les masses documentaires de communes, d’intercommunalités ou d’établissements publics divers et variés qui n’ont pas les moyens de recruter un ...
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Gazette des Communes
Références
- Rapport d'enquête Etre archiviste itinérant aujourd'hui
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