« Cela ne m’intéresse pas d’être l’adjoint chargé de l’urbanisme qui réalise de grosses opérations. Mais, au-delà du désir d’élu, c’est mécanique, il n’y a plus de réserve foncière », assure Bernard-Louis Blanc, chargé de l’urbanisme résilient à la ville de Bordeaux (261 000 hab.).
« Les grandes opérations d’aménagement lancées par Alain Juppé reposaient sur la reconquête de sites industriels, ferroviaires ou militaires délaissés. Nous ne disposons plus de friches de cette ampleur », complète Christine Bost, vice-présidente chargée de l’urbanisme à Bordeaux métropole (28 communes, 801 000 hab).
Fini, donc, les projets d’envergure qui ont vu naître les quartiers Bassins-à-flot, Brazza, Bastide-Niel, tandis que celui proche de la gare, dans le périmètre de l’opération d’intérêt national ...
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