Pour le marché d’exploitation de l’unité de valorisation organique de Saint-Perdon (Landes), le Sictom aura déboursé 10 millions d’euros pour 2019-2029, travaux compris.
Paprec Énergies
Dans le Sud-ouest ensoleillé, le Sictom du Marsan mise sur l’énergie solaire pour sécher ses refus d’ordures ménagères et produire des combustibles solides de récupération. Vertueux, même si cela coûte plus cher que l’incinération.
Ma Gazette
Sélectionnez ce thème et créez votre newsletter personnalisée
Avec ses 126 panneaux thermovoltaïques, l’unité de tri mécano-biologique des ordures ménagères résiduelles (OMR) du Sictom du Marsan à Saint-Perdon, dans les Landes, parvient, en optimisant leur séchage, à valoriser 1 500 tonnes de refus de tri en combustibles solides de récupération (CSR), au lieu de les incinérer. C’est en 2015 qu’a été installé ce bâtiment de séchage. Mais le premier procédé, utilisant des ventilateurs et une sonde d’humidité, n’était pas optimal. En 2018, Dalkia Wastenergy (aujourd’hui Paprec Energies) développe, avec l’entreprise bordelaise Pena, une filière ...