Sobriété foncière, réhabilitation du bâti, facilitation de l’accès à la pratique sportive, vocation sociale… Le projet ‘1 000 dojos’ coche de nombreuses cases parmi les concepts dans l’air du temps. D’ici 2024, sous le pilotage de la Fédération française de Judo (FFJudo) muée en actrice du recyclage urbain, 1 000 dojos qualifiés de ‘solidaires’ devraient être installés en France dans des espaces existants, principalement au sein de quartiers de la politique de la ville (QPV).
Ce plan est né d’un double constat. Un premier, socio-démographique : « En année normale, nous recensons environ 500 000 licenciés, dont seulement 6 500 dans les QPV », livre Sébastien Nolesini, le directeur général de la FFJudo. Soit un « taux de pénétration très faible de 1,2% », dans ces 1 436 quartiers où vit 8 ...
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