Depuis le 3 janvier, José Tavarès Garcia a chamboulé son organisation professionnelle : à domicile deux jours par semaine, trois, quand c’est possible. Mais pour cet infographiste de la commune d’Allonnes (230 agents, 11 200 hab., Sarthe), la situation n’est que transitoire. Heureusement, car il n’aime pas travailler à distance. De toute façon, malgré la crise, sa ville n’a pas cédé au déploiement du télétravail « en accord avec les agents » précise-t-il. Et cela l’arrange bien.
« J’habite en pleine campagne et j’ai une mauvaise connexion. La fibre n’est pas encore déployée. Pour exercer de chez moi, il m’a fallu mettre tous mes logiciels à jour ce qui m’a pris des heures, sans compter que mon ordinateur personnel est moins performant que celui du bureau. Alors je joue le jeu, mais je ne ...
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Gazette des Communes
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