Votre étude démontre-t-elle une baisse d’intérêt pour les métropoles ?
Notre étude se fonde sur des données publiques qui datent d’avant la crise sanitaire ; les données plus récentes ne sont pas encore disponibles. Il y a trois ans, nous avions réalisé une étude sur le potentiel de croissance des métropoles régionales. Nous avons donc voulu réinterroger les constats que nous avions faits, au regard de la crise, en incluant d’autres indicateurs que les indicateurs strictement économiques.
La tendance qui se dessinait, avec la montée en puissance des métropoles régionales, s’est accélérée avec la crise sanitaire, le développement du télétravail… On va vers une organisation du territoire plus maillée autour d’un réseau de grandes villes et de villes ...
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Gazette des Communes
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