Comment concilier alimentation durable et de proximité pour les cantines ? 50 % de signes officiels de qualité – 60 % pour les viandes et poissons- dont 20 % de bio, comme le demande la loi Egalim, à partir de janvier. Difficile de cocher toutes les cases, surtout quand on veut rester local et qu’on est une métropole !
Les gestionnaires qui y sont déjà parvenus, ont tracé un long chemin tissé de relations avec les producteurs régionaux. Connaissance mutuelle, mise en adéquation de l’offre avec la demande publique… La construction de la confiance demande d’autant plus de temps que l’acheteur est exigent. Si certains labels permettent une présélection, ils ne satisfont pas forcément à tous les critères attendus. A l’inverse, des petits producteurs locaux, non expertisés par un tiers ...
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