Les deuxièmes Assises des énergies renouvelables citoyennes, qui se sont déroulées à Nantes le 8 novembre, ont remporté un vif succès, en « présentiel » comme à distance. Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a annoncé (dans une vidéo en différée) plusieurs mesures favorables à ces projets à gouvernance locale. En dehors de l’objectif emblématique d’atteindre 1 000 projets en 2028, elle a notamment communiqué sur la prochaine publication d’un décret sur les « communautés énergétiques ». D’où vient cette appellation et que recouvre-t-elle ?
Deux formes de communautés énergétiques
Cette notion nouvelle est issue de la législation européenne. Pour l’instant, en droit français, il n’existe pas de définition officielle des projets EnR à gouvernance locale. Seul un label lancé récemment par « Energie partagée » permet de les valider.
Il existe en fait deux types de communautés énergétiques :
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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