Faux départ pour la version 3 du diagnostic de performance énergétique (DPE). Entré en vigueur en juillet, cet outil qui alloue des étiquettes A à G aux logements est devenu indispensable. Plusieurs articles de lois s’y réfèrent désormais. Et il est devenu opposable, ce qui signifie que les diagnostiqueurs s’exposent s’ils font mal leur travail.
Fin septembre, le ministère du Logement a pourtant dû reconnaître que l’on était allé vite en besogne et que ce nouvel outil de mesure était mal échantillonné. Les nouvelles modalités de calcul augmentaient par exemple le nombre de logements classés F et G de 50 % par rapport aux précédentes estimations. Le tir a été corrigé lundi 4 octobre avec une nouvelle mouture du diagnostic qui entrera en vigueur le 1er novembre. Fin de la partie ? Pas si ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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