La police de sécurité du quotidien, lancée à grandes pompes en février 2018, a-t-elle eu les effets escomptés ? L’Institut Paris Région (ex-IAU) vient de publier une étude très documentée pour tenter de répondre à cette question. Sur le papier, la police de sécurité du quotidien (PSQ) entend placer le service du citoyen au cœur du métier de policier et de gendarme et vise donc à territorialiser davantage l’action des forces de sécurité.
La question de l’articulation avec les acteurs locaux étant centrale, c’est donc sous l’angle des partenariats locaux que l’Institut a décidé d’en interroger les effets. Et le constat dressé par la sociologue Virginie Malochet est… « en demi-teinte ».
La PSQ n’a pas partout la même portée
« Elle donne à voir des dynamiques variables selon les territoires ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 30 jours
J’en profiteThèmes abordés
Régions