Les circuits de financement existent, mais semblent parfois complexes à activer. L’Etat et les régions sont copilotes du plan de relance, et l’échelon intercommunal est privilégié par le gouvernement pour l’action infrarégionale.
- Quels sont les financements disponibles ?
- Quelle articulation de l’action entre intercommunalités, régions et Etat ?
- Comprendre le rôle et le fonctionnement des CRTE
- Comment faire des CPER un levier de plus dans ce dispositif ?
- Quel rôle pour les fonds européens, et à quelles conditions ?
- Aides, subventions, prêts… Qu’est-ce qui est possible ?
- Ingénierie financière : à qui s’adresser ?
Nicolas Portier, délégué général de l’AdCF et Jules Nyssen, délégué général de Régions de France ont expliqué comment les collectivités pouvaient se servir des différents leviers mis à leur disposition, en rappelant qu’il fallait construire une vision stratégique du développement de son bassin d’emploi, privilégier certaines filières et secteurs, investir sur la formation et la compétence des salariés.
Ainsi, il faut à la fois développer une stratégie nationale, et mettre en place des actions locales, adaptées au terrain, a rappelé Nicolas Portier : « Qu’on soit bien tous conscients, aussi, que notre réindustrialisation est essentiellement climatique. La relocatisation d’activités productives doit être en synergie avec nos engagements écologiques ».
« Comment permettre à des gens d’habiter et de travailler sur leur territoire, c’est la vraie question. (…) L’activité économique ne doit pas être destructrice de l’environnement », a souligné Jules Nyssen.
Sur ces bases, comment utiliser les différents « tuyaux » apporteurs de fonds ? Comment sélectionner les projets des entreprises ? Faut-il leur apporter des aides économiques, ou des subventions ?
Retrouvez ici leur intervention, et leurs réponses aux questions des cadres territoriaux :
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Gazette des Communes, Club Finances
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