C’est un diagnostic, au sein de la ville et de la métropole de Toulouse, qui a dévoilé des failles dans la mise en œuvre de la qualité de vie au travail. « Trop centralisée et descendante, trop réglementaire et parcellisée, trop curative au lieu d’être préventive », résume François Lemoine. Le responsable du pôle « SQVT » des deux collectivités est l’initiateur d’une stratégie expérimentale qui, à l’inverse, est « collective et part des situations de travail », souligne Françoise Verdier, chargée de mission de l’Aract Occitanie, qui accompagne la démarche.
Son préalable ? Impliquer la direction et le CHSCT. « Il faut que chacun soit d’accord pour sortir de sa posture. La direction ne décidera pas seule, et les représentants des agents coconstruiront des solutions avec elle », explique ...
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Gazette des Communes
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