« Ecrire le PCAET coûte 1 euro par habitant, l’animer, 10 euros, et le mettre en œuvre, 100 euros par habitant. Nous savons que l’enveloppe de 1,3 milliard de dotation de soutien à l’investissement local (DSIL) ne sera pas suffisante pour remplir les objectifs des accords de Paris », assène le directeur général de l’association Amorce, Nicolas Garnier.
Avec la loi d’orientation des mobilités de 2019, qui impose aux PCAET de nouveaux objectifs en matière de qualité de l’air, les collectivités s’interrogent. « Il nous faudra accélérer ce que l’on a mis en place, mais aussi trouver de nouveaux financements », reconnaît Jérôme Klein, directeur de l’énergie, du climat et du développement durable du Grand Nancy. Pour 2021, le syndicat intercommunal d’énergies de Maine-et-Loire (SiEml ...
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Gazette des Communes, Club Finances
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