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[Interview] Intercommunalités

Yvonic Ramis : « Nous devons permettre une adaptabilité propre à chaque territoire intercommunal »

Publié le 14/06/2021 • Par Romain Mazon • dans : France, Toute l'actu RH

RAMIS-YVONIC
Jerome CHABANNE
En remettant le maire et la commune au cœur du jeu politique, la crise sanitaire a entraîné un effacement des intercommunalités, que les élections du bloc local en juin 2020 n'ont pas modifié. A tel point que les directeurs généraux d'interco en font le fil rouge de leurs universités d'été, du 7 au 9 juillet, pour faire de la "dynamique communaliste, une opportunité à saisir pour le mouvement intercommunal". Yvonic Ramis, nouveau président de l'ADGCF, explique dans cette interview à "La Gazette", comment les intercos peuvent redéfinir leur rôle, et revient aussi sur l'intérêt du projet de loi "4D", la réforme de la haute fonction publique, ou l'élection au suffrage universel direct des conseillers communautaires.

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La crise sanitaire a remis au cœur du jeu politique et institutionnel le maire et la commune. Vous en faites d’ailleurs le thème de vos universités d’été, qui se pencheront sur cette nouvelle dynamique communaliste. Pourquoi cette évolution récente ?

Ce mouvement était peut-être à prévoir, parce que l’on sort d’un cycle d’une vingtaine d’années de poussée intercommunale, avec les dernières lois « Notre » et « Maptam », qui sont profondément intercommunales. On sentait bien, sur le mandat qui vient de s’achever, que c’était fait de manière contrainte, parfois à marche forcée, avec un EPCI sur deux qui a disparu, donnant naissance à des intercos quelques fois tentaculaires en superficie et/ou en nombre de communes. On entendait, sur la dernière ...

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Commentaires

Yvonic Ramis : « Nous devons permettre une adaptabilité propre à chaque territoire intercommunal »

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henri Tanson

14/06/2021 11h38

Les Français n’ont aucune tendresse pour les structures de type inter-communautés, d’une part parce qu’elles les éloignent de leurs représentants, de la politique qui ne fonctionne bien que quand elle est de proximité et ensuite, parce que ces structures sont tout SAUF démocratiques…
En effet, les « élus » qui siègent dans ces conseils communautaires n’ont jamais présenté de programme, ne se sont jamais engagé sur un projet politique et donc n’ont jamais été élus dans ce cadre là, et n’ont, de fait, de compte à rendre à personne.
De plus, nous élisons des maires qui n’ont plus aucun pouvoir (à part de gérer les affaires courantes) et qui sont souvent tenus d’appliquer des politiques qu’ils dénoncent mais qui sont décidées par une instance « supérieure », de type dictatorial… avec des décisions qui sont de plus en plus, prises par des technocrates et non plus par des politiques.
Rien ne va plus.
Ne serait-il pas temps de se tourner vers le peuple et de lui demander son avis ?
Tu vois pas qu’il soit contre les lois NOTRE et MAPAM, et contre toute cette politique d’éloignement des citoyens de leurs représentants ?…

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