« Nous nous réjouissons aussi bien de la teneur de cette décision que de la réactivité du gouvernement », affirme Emmanuel Heyraud, directeur de la cohésion sociale et du développement urbain chez France Urbaine. En effet, l’association d’élus de grandes villes avait envoyé un courrier au Premier ministre le 17 mai, en l’alertant sur le sort des personnes vulnérables après la fin de l’état d’urgence sanitaire, à partir du 2 juin.
« C’est une solution salutaire qui répond aux inquiétudes des collectivités urbaines, dont Nantes ou Rennes, sur les risques de phénomènes d’errances, de constitution de campements ou de squat », poursuit Emmanuel Heyraud. De son côté, la ministre Emmanuelle Wargon s’est réjouie sur Twitter : « C’est la fin inédite de la « gestion au ...
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