Au plus fort de la première vague, déjà, ils avaient tiré la sonnette d’alarme au sujet des difficultés d’approvisionnement en masques et en gel, et plus largement sur la reconnaissance des agents sur le terrain.
Un an après, les opérateurs funéraires expriment de nouveau leur mécontentement. Dans un courrier adressé le 6 avril au Premier ministre, les trois grandes fédérations de professionnels – la CPFM qui regroupe les privés, la FFPF qui réunit les PME et l’Union du pôle funéraire public (UPFP), le service public – dressent le constat partagé « que l’administration fait le choix délibéré de tenir les professionnels du funéraire à l’écart des dispositifs de garde nécessaires à la continuité de leurs services. Nos salariés ne peuvent, en même temps, garder leurs enfants et ...
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Gazette des Communes
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