« Pour cette troisième édition, nous sommes à la fois sur le maritime et le fluvial, sur l’écologie et le développement économique », s’est félicitée la ministre.
Depuis trois ans, le ministère soutient des projets d’accroissement de la capacité d’accueil des ports de plaisance intégrant le développement durable des territoires (maîtrise de la consommation d’énergie, gestion des déchets…).
Les neuf projets lauréats sont ceux de
- la communauté d’agglomération portes de France - Thionville,
- la communauté de communes Meuse et Semoy,
- Valenciennes métropole,
- Bayeux intercom,
- Treffiagat - Le Guilvinec,
- Sérignan,
- la communauté urbaine Nice-Côte d’Azur,
- Sainte-Anne (Guadeloupe)
- et du conseil général du Gard.
Créer 4000 places – A ce jour, la France possède une capacité d’accueil de 170 000 places en eaux maritimes. En 2009, le premier appel à projets a été lancé dans le cadre du Grenelle de la mer : les deux premières éditions ont permis la création de 9 000 places à flot et à sec.
L’édition 2011 devrait susciter la création de quelque 4 000 places.
« Nous observons une augmentation des projets fluviaux, s’appuyant sur des ambitions pédagogiques », a poursuivi Nathalie Kosciusko-Morizet. C’est le cas du projet lorrain porté par la communauté d’agglomération portes de France - Thionville : l’aménagement d’une zone d’activités nautiques avec un port de plaisance à Basse-Ham.
C’est aussi l’expérience soutenue par le conseil général du Gard, dont l’originalité consiste à mettre en réseau les ports fluviaux et maritimes du Rhône à la mer.
Références
Documentation sur les 9 projets lauréats, 23 août 2011
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