À Rennes, le taux de non-recours à la CMU-C dépasse les 30 %, et même 70 % pour la complémentaire santé. « Les campagnes nationales ne touchent pas les personnes les plus précaires », explique Charlotte Marchandise-Franquet, adjointe à la santé. D’où la nécessité de développer des réponses spécifiques. À Rennes, cela a pris la forme d’une convention de partenariat. Elle porte sur des actions très concrètes de promotion de la santé au bénéfice des personnes les plus démunies, notamment les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA), un des axes stratégiques du contrat local de santé.
Des freins à lever
Cette convention est la formalisation d’un processus engagé depuis 2011. Le ...
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