La fermeture, le plus souvent fin mars, voire fin avril, des places d’hébergement d’urgence ouvertes pendant la période hivernale, replonge les personnes sans domicile dans la recherche, souvent vaine, d’un lieu pour passer la nuit. La Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars) vient de tirer la sonnette d’alarme sur la situation des personnes qui viennent d’être remises à la rue. Elles sont 300 à Lyon, à s’être ajoutées aux 550 personnes qui contactent le 115 chaque soir. Elles sont 300 de plus à Bordeaux, autant à Toulouse, 280 à Marseille… Or durant cet hiver 2013-2014, 61 % des appels aux 115 ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 30 jours
J’en profite