Si, selon Jean-Marie Delarue, les équipes hospitalières se montrent plus réceptives que l’administration carcérale aux remarques de ses équipes, il n’en reste pas moins que le 6è rapport annuel du Contrôleur général des lieux de privation de liberté pointe toute une séries de lacunes en matière de respect des droits fondamentaux des personnes atteintes de troubles mentaux.
« Nous sommes interpellés par le nombre croissant de courriers concernant leurs conditions d’enfermement » s’est inquiété Jean-Marie Delarue en présentant le rapport le 11 mars 2014. D’autant que le nombre d’hospitalisation sans consentement, qui les concernent au premier chef, s’est accru de 44 % entre 2006 ...
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