« Compétence partagée ne signifie pas compétence facultative », alertait récemment Marc Sanchez (1), président de l'Association nationale des élus en charge du sport (Andes). Il faisait bien sûr référence à la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite « Notre »), selon laquelle la compétence sportive reste partagée entre les différents échelons: communes, intercommunalités, départements et régions. Conséquence, en l'absence de chef de file, le sport apparaît plus que jamais comme une compétence relevant uniquement de choix politiques.
Moderniser les politiques
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Quelles incidences de la réforme territoriale sur le secteur sportif ?
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Sommaire du dossier
- Loi « Notre » : le Sénat rétablit la commission sport
- Réforme territoriale: le sport reste une compétence partagée
- Réforme territoriale: le judo adopte une nouvelle gouvernance
- Auray-QuiberonTerre Atlantique : un schéma directeur définit la complémentarité entre les communes et la communauté
- Sport: les départements hésitent à passer le relais
- Vendée Globe: le département ne veut pas lâcher sa pépite
- Pays d’Aix:le schéma d’organisation des piscines porte ses fruits
- Intercommunalités: mutualiser, c’est gagner?
- Nouvelles régions: le mouvement olympique cherche sa gouvernance
- Réforme territoriale: on continue comme avant
- Loi « Notre »: plus que jamais le sport relève de choix politiques
- La FSCF veut faire de la recomposition territoriale une opportunité