"Le mardi c'est fractionné. Alors n'aie pas peur et viens nous rejoindre un peu avant 19 heures ce soir sur le parking Louis Feuillé (derrière La Poste de Château–Gombert, première à gauche sur le chemin de Palama, 13013). Chacun son rythme, les premiers attendent les derniers alors on vous attend nombreux! ». Un lieu, un horaire… Au-delà de cet exemple dans les Bouches-du-Rhône, de tels messages sont postés par dizaines chaque jour, sur les réseaux sociaux. L'idée est partout la même: « ne pas pratiquer seul-e », « échanger autour d'une passion commune » ou encore « fédérer une communauté ». Sans ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Acteurs du sport
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club acteurs du sport pendant 30 jours
J’en profiteCet article fait partie du Dossier
Nouvelles tendances, nouveaux usages, le sport innove pour mieux répondre aux évolutions sociétales
19 / 21
article suivantSommaire du dossier
- Les villes prennent le chemin de la forme
- Sports d’hiver : les stations développent les alternatives au ski
- Salles de fitness : quel rôle pour la collectivité ?
- À Nice, le fitness municipal vise un public différent
- La femme, avenir du sport?
- À L’Aigle, un mois au féminin
- Toulouse, premier stade de rugby 100 % connecté d’Europe
- Skateparks, béton ou modulaires?
- À Avignon, deux skateparks plutôt qu’un
- Dans les villes, le sport prend un coup de « jeunes »
- À Épinal, le parkour fait aussi découvrir la ville
- Vers une « ubérisation » du modèle sportif?
- street workout : simplicité et résistance
- Le sport 2.0 révolutionne les pratiques
- À Lyon, une appli pas seulement pour la forme
- À Montreuil, le sport répond à la demande sociale
- L’esport, de moins en moins virtuel
- Interview de Jean-François Martins : « la pratique du esport est réelle, concrète et mérite un soutien »
- Grand Poitiers, l’ambition e-capitale
- Le fitness prend son envol en plein air
- À Mandelieu-la Napoule, le fitness en libre accès attire de nouveaux publics