M. et Mme C. avaient demandé la condamnation de la commune d’Arès (Gironde) à les indemniser des préjudices qu’ils ont estimé avoir subis du fait de la carence du maire dans la mise en oeuvre de ses pouvoirs de police pour avoir refusé de déplacer un terrain de pétanque et pour avoir refusé la construction d’un mur anti-bruit. La cour administrative d’appel de Bordeaux, dans son arrêt du 12 avril 2019, réforme le jugement de première instance qui donnait gain de cause aux époux C., et se prononce en faveur de la commune.
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