«Il n’est pas possible de concevoir une politique d’accueil sans la participation des personnes concernées, comme on n’imaginerait pas, par exemple, de défendre les victimes de violences intrafamiliales sans leur demander leur avis », juge Sophie Bilong, chercheuse et consultante pour l’Observatoire de l’immigration et de l’asile auprès de l’Institut français des relations internationales.
Même s’il évoque surtout le secteur associatif, son rapport sur la participation des réfugiés (1) permet d’établir différents degrés de prise en compte de leur parole. Le premier consiste à leur donner un rôle consultatif, comme dans les centres d’accueil de demandeurs d’asile. Le deuxième est la coconstruction que pratiquent des associations. Le troisième réside dans la gouvernance partagée ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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