A l’approche de son déploiement sur l’ensemble du territoire, courant 2021, sans qu’aucune date n’ait toutefois encore été avancée, le « chantier culturel du quinquennat » a fait l’objet d’une longue audition de ses responsables opérationnels, mercredi 17 mars, au Sénat, par le groupe de travail présidé par Jean-Raymond Hugonet, dont le scepticisme sur ce projet du chef de l’Etat est notoire. Les présidents de la SAS pass Culture, Damien Cuier, et de son comité stratégique, Gilles Duffau, se sont attachés à en vanter les atouts.
L’offre numérique seule plafonnée
Vingt-quatre mois après le début de l’expérimentation dans cinq puis 14 départements, le bilan est « positif » et des points d’amélioration ont été « certains déjà traités, d’autres, identifiés » a, sans surprise, expliqué Damien Cuier, chiffres à la clé. Cent-vingt-huit-mille inscrits ; 766 000 réservations, de livres pour les deux tiers ; 4 500 lieux référencés, dont 2 500 physiques…
Il a présenté les retouches promises pour ce dispositif. Le nouveau pass sera d’un montant de 300 euros, et non plus 500 euros, toujours à dépenser en vingt-quatre mois. Un abaissement du plafond justifié par une
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