Un monde fortement hétérogène, pouvant se répartir en familles, desquelles on peut néanmoins dégager des points communs. Ainsi peut-on résumer le cinquième volet, intitulé « Typologies », de l’enquête SoFest menée par l’équipe de chercheurs conduite par Emmanuel Négrier (CEPEL– CNRS, Université de Montpellier) et Aurélien Djakouane (SOPHIAPOL, Université Paris Nanterre). De quoi « enrichir notre connaissance du fait festivalier pour une politique pérenne et durable, alors que nous sommes à l’aube d’un printemps et d’un été de nouveau difficiles », a commenté, jeudi 18 mars, le président de France Festivals, Paul Fournier, lors de la présentation, à Nancy.
Festivals emblématique de territoires
Des 705 festivals examinés, ceux que les auteurs ont dénommés « plateformes » sont les moins nombreux et les plus importants en offre, audience et budget. Ce « club fermé » est « l’emblème d’un secteur et d’un territoire », dont beaucoup portent d’ailleurs le nom, comme Jazz in Marciac. On y trouve le plus gros pourcentage d’acteurs publics en assumant l’organisation, qu’ils soient des collectivités ou
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