Le phénomène qui consiste à convertir des terres agricoles, forestières ou naturelles pour l’urbanisation ou le développement d’infrastructures (transport, habitat, activités, commerces, infrastructures diverses, équipements publics…) ne cesse d’augmenter. L’étalement de notre urbanisation et de nos infrastructures, la construction de nouveaux habitats en périphérie des villes, sont aujourd’hui parmi les causes premières du réchauffement climatique et de l’érosion de la biodiversité. Cette artificialisation, qui touche plus fortement les zones rurales mais aussi les zones urbaines, a donc non seulement des répercussions directes sur la qualité de vie des citoyens mais aussi sur l’environnement.
La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a confirmé la nécessité de « préserver ...
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