« Parce que la police est un service public au service de la garantie des droits et libertés des citoyens, l’altération de ses relations avec la population constitue une préoccupation majeure dans un Etat de droit. » Après la fondation Jean Jaurès il y a quelques semaines, et le Beauvau de la sécurité qui a fait de ce thème le sujet de sa première réunion, c’est au tour de la Commission nationale consultative des droits de l’homme de s’intéresser à cette problématique.
Dans un avis publié au journal officiel le 21 février, l’instance fait part de son inquiétude. Consciente de la complexité des tâches accomplies au quotidien par les forces de l’ordre et du « malaise policier », elle rappelle tout de même que la France se situe depuis plusieurs années dans le tiers inférieur des Etats de ...
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Gazette des Communes
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