« Des agences paradoxalement centralisées et déconnectées de leur environnement territorial»… En une formule, le rapporteur de la commission d’enquête parlementaire sur l’impact, la gestion et les conséquences de l’épidémie de Coronavirus semble sceller le sort des ARS, déjà tant décriées par les élus locaux au sortir du premier confinement.
Pour Eric Ciotti, le défaut de « déconnexion du terrain » des ARS tient d’abord à la réforme de la carte des régions qui, en cinq ans, a fait passer le nombre de ces agences de 26 à 17, estime-t-il dans son rapport dévoilé par le JDD.
Conséquence : ces agences, établissements publics administratifs qui sont placés sous la tutelle du ministère de la Santé et non des services déconcentrés, se seraient un peu plus éloignées encore du niveau ...
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