Veiller à ce que plus de femmes occupent un poste de décision dans la fonction publique. C’est l’esprit du dispositif des nominations équilibrées qui impose un seuil de femmes dans les premières nominations à des postes d’encadrement supérieur ou de dirigeant de 40 % depuis le 1er janvier 2017, sous peine de sanctions financières (1). Un outil de promotion de la parité qui peine encore à atteindre ses objectifs d’après le bilan 2018 publié, vendredi 27 novembre, par la DGAFP.
En 2018, pour la deuxième année consécutive, seul le versant hospitalier de la fonction publique a rempli le quota de personne de chaque sexe en primo-nomination à des postes de dirigeant ou d’encadrement supérieur avec 47 % contre 37 % pour l’État. La fonction publique territoriale arrive en ...
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Gazette des Communes
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