Le nombre de terrasses a explosé à Strasbourg (277 300 hab.), depuis une dizaine d’années. « La ville a toujours été touristique et étudiante mais les terrasses ne faisaient pas partie des habitudes de vie. C’est une évolution des mœurs qui s’est accompagnée de la régionalisation des licences IV. Un glissement s’est fait, les établissements se déplaçant des territoires en déclin aux villes dynamiques, comme Strasbourg », explique Pierre Ozenne, adjoint (EELV) à la maire, chargé des espaces publics partagés, foires et marchés, et des voiries.
Une déclinaison complexe
En 2019, les recettes de l’occupation du domaine public s’élevaient à 1,6 million d’euros sur 30 millions de produits des services, domaines et ventes diverses. Actuellement, les tarifs sont déclinés en fonction de la nature de ...
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Gazette des Communes, Club Finances
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