A partir du 1er janvier 2022, les cantines devront servir au moins 50 % de produits de qualité et durables, dont 20 % de produits bios. Mais à tout juste un peu plus d’un an de l’échéance, l’équation reste encore problématique pour les acteurs de la restauration collective. Comment cibler la production locale sans tomber dans le piège de la préférence géographique ? Quels outils utiliser pour promouvoir l’achat de proximité sans distorsion de la concurrence et des règles de la commande publique ?
« Il y a des pratiques à développer qui nous permettent de rester dans les clous, mais il faut être outillé », souligne Cathy Munsch Masset, vice-présidente de la région Centre – Val de Loire, qui coorganisait une webmatinale avec le Reseco – une association qui œuvre pour ...
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