Depuis le reconfinement et le retour à l’état d’urgence sanitaire, la demande se fait de plus en plus pressante. La suspension temporaire du jour de carence, comme ce fut le cas lors de la première vague pandémique, est le cheval de bataille du moment des employeurs territoriaux et des organisations syndicales.
La revendication, bien que réitérée chaque semaine auprès d’Amélie de Montchalin, reste, pour le moment lettre morte. La faute, selon les observateurs, à une négociation interministérielle entre Bercy et la rue de Grenelle qui semble ne plus finir afin que salariés du privé et agents publics soient logés à la même enseigne.
« À plusieurs reprises, Amélie de Montchalin a semblé entendre les arguments de la territoriale et avait même donné son accord tacite en cas de reconfinement ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social