Après six mois de mise en sommeil des lieux culturels, et alors que l’état d’urgence sanitaire a été rétabli par un décret du 16 octobre, reprendre l’activité s’apparente à un acte militant. « Notre objectif est de rester ouvert pour montrer que nos équipements sont bien là. De leur côté, les artistes ont besoin de jouer, même si la salle est encore clairsemée », plaide Cécile Le Vaguerèse Marie, directrice du théâtre de Choisy-le-Roi et coprésidente du Syndicat national des scènes publiques.
Autre enjeu : « Le moral de nos équipes, des artistes et du public. Pour eux tous, il est primordial que nous allions au bout de ce que le cadre sanitaire nous autorise à faire », souligne Fred Lapierre, directeur de La Belle électrique, salle de concerts à Grenoble (158 500 hab.).
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Crise sanitaire : le parcours du combattant du monde de la culture
Sommaire du dossier
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