La crise sanitaire les a sortis du petit bureau dans lequel on les avait confinés. Les chargés de mission « mobilités actives » sont devenus, en quelques mois, des acteurs importants pour accompagner le boom du vélo et tenter de remettre la marche au goût du jour. Le poste pouvant être cofinancé par l’Ademe lorsqu’une interco a répondu à l’appel à projets « vélo et territoires », ils ont le plus souvent un statut de contractuel. De catégorie A ou B selon les profils… qui sont on ne peut plus nombreux. « Il n’existe pas de formation spécifique, regrette Julien de Labaca, fondateur de la société de conseil Le Facilitateur de mobilité. Les collectivités doivent s’appuyer sur des personnes en interne qui ont de l’expérience ou sur des jeunes qui ont beaucoup d’envie. »
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