« La photographie prend sa place dans la ville. Cela crée un engouement dans de nombreux territoires et une diversité des points de vue est défendue », considère Jennifer Labord, chargée de la communication au sein du réseau Diagonal, qui regroupe 23 structures de production et de diffusion de la photographie contemporaine. Le ministère de la Culture identifie une trentaine de structures à l’échelle nationale, dont huit centres photographiques labellisés dans six régions (Ile-de-France, Bretagne, Hauts-de-France, Occitanie, Nouvelle-Aquitaine, Normandie).
Les rencontres d’Arles ou Visa pour l’image, à Perpignan, qui ont attiré respectivement 145 000 et 195 000 visiteurs en 2019, sont des références en matière de photographie. Mais elles ne sont pas les seules, loin de là. Les villes de Vichy, Beauvais, Guingamp, La Gacilly, Sète ou Gentilly… appuyées par leur communauté d’agglomération, ont choisi d’investir ce média.
Des galeries de photos à ciel ouvert
Populaire, réputée facile d’accès, la photographie déploie ses images dans les territoires à différentes échelles. Il y a les temps forts que constituent les festivals, ou les expositions dans des centres d’art dédiés. Les rues ...
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