Chaque année, un enfant sur trois ne part pas en vacances. Mais cet été, parce que la crise sanitaire a fragilisé les familles et parce que les frontières restent pour partie fermées, la proportion sera bien supérieure, s’inquiètent les associations d’élus. Et les protocoles sanitaires, même s’ils ont été allégés, ont obligé un certain nombre de collectivités à réduire leur capacité d’accueil.
C’est le cas de la ville de Saint-Denis qui, propriétaire de huit centres de vacances (en Vendée, en Dordogne ou encore dans l’Yonne), ne pourra mettre au vert que 400 jeunes, contre 800 habituellement. « Si la demande est forte, nous pourrons augmenter un peu nos capacités, mais à dire vrai nous ne sommes pas sûrs de remplir, avance Raphaël Thomas ...
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Gazette des Communes
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