Si le festival de BD est reconnu, il doit sans cesse se renouveler. L’association organisatrice et les collectivités y veillent.
« La bande dessinée étant devenue au niveau national le moteur de l’édition en matière de chiffres d’affaires, d’ouvrages vendus et de diversité, le regard des éditeurs, des collectivités, et des opérateurs a forcément changé depuis la création du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême en 1974 », confie Jean-François Dauré, président du Grand Angoulême jusqu’aux dernières élections.
De quoi attirer les convoitises. « Ayons à l’esprit que beaucoup de collectivités misent sur des contenus culturels pour asseoir un nom », souligne Franck Bondoux, délégué général du festival via la société ARTS (éditrice du site 9emeArt.fr), qui précise : « Notre ingénierie a beau être unique et notre niveau de crédibilité important, il ...
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