« Plus de souplesse pour les choix des femmes », « un engagement citoyen et militant ». Ce sont les mots employés par Antonio Oliveira, adjoint au maire, chargé de la santé de Malakoff (30 700 hab., Hauts-de-Seine), pour expliquer l’introduction d’un nouveau service d’IVG dans l’un des deux centres municipaux de santé de la commune. « On craignait d’attirer des manifestations anti-avortement, mais la ville a toujours mené une politique de santé progressiste. Le centre a fêté ses 90 ans en 2019 », indique-t-il.
Après l’IVG dite « médicamenteuse », proposée depuis plusieurs années dans cette municipalité, cette intervention sous anesthésie locale, qui consiste en l’aspiration du contenu de l’utérus, est habituellement pratiquée à l’hôpital. Alors qu’elle est autorisée jusqu’à douze semaines ...
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