« Avant la crise, tous nos militants étaient sur les marchés, les entrées de métro… Le plus difficile était d’organiser la masse de personnes qui voulaient participer à la campagne. Avec la crise, nous avons dû repenser l’organisation pour le second tour puisqu’on savait qu’on n’allait pas pouvoir tracter, boîter, ou faire du porte-à-porte, soit les principales activités militantes », expose Ninon Guinel, directrice de campagne du candidat écologiste Grégory Doucet, arrivé en tête au premier tour dans la ville de Lyon en comptabilisant 28,46% des voix.
C’est en effet une « drôle de campagne » qui a débuté officiellement le 15 juin dans un contexte inédit, où les poignées de main se sont heurtées aux « gestes barrières » et ont dû laisser la place à d’autres formes de représentation ...
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Gazette des Communes
Références
Vademecum publié par le ministère de l'Intérieur pour les candidats aux élections du 28 juin.
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