Les marques de « soutien de la puissance publique » et de « reconnaissance de la Nation » adressées aux policiers et gendarmes, dimanche 14 juin, lors du discours à la Nation d’Emmanuel Macron n’auront pas suffi à dissiper le malaise.
Le président de la République a eu beau le marteler – « Sans ordre républicain, il n’y a ni sécurité, ni liberté. Cet ordre, ce sont les policiers et les gendarmes sur notre sol qui l’assurent » – pour les forces de l’ordre, le mal est fait. En annonçant le 12 juin, suite aux manifestations contre les violences et le racisme policière, une série de mesures (suspension à titre conservatoire en cas de propos ou d’acte raciste, fin de la procédure d’étranglement, etc.), le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, s’est attiré les foudres ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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