Les algorithmes se répandent aujourd’hui dans de nombreuses sphères de la vie quotidienne et sont utilisés notamment par des acteurs publics : que ce soit pour l’accès à des prestations sociales, par la police, la justice…
Or, « derrière l’apparente neutralité des algorithmes, des recherches ont mis à jour l’ampleur des biais qui peuvent intervenir lors de leur conception et leur déploiement. Tout comme les bases de données qui les alimentent, ils sont conçus et générés par des humains dont les stéréotypes, en se répétant automatiquement, peuvent engendrer des discriminations », rappelle le Défenseur des droits, qui a publié le 31 mai un rapport d’une dizaine de pages sur le sujet.
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