En test depuis le 11 mai, date du début du déconfinement, l’application StopCovid devrait officiellement entrer en service le 2 juin. Cette application, dont le développement est confié à l’Inria, repose sur le contact tracing, ou suivi de contact, grâce à une technologie Bluetooth. Le but ? Prévenir les utilisateurs lorsqu’ils ont été potentiellement en contact avec un individu porteur du Covid-19, sans en connaître l’identité ni le, ou les lieux de potentielle contamination.
Elle ne doit constituer qu’une “brique” dans la stratégie plus globale de lutte contre l’épidémie de Covid-19, selon le gouvernement, comme le préconisent la Cnil, qui l’a jugé conforme au RGPD, et le Conseil national du numérique. Mais elle suscite tout de même un certain nombre de questions, notamment éthiques, sur le respect des libertés individuelles et de la vie privée.
Les élus locaux, en première ligne depuis le début de la crise sanitaire, souhaitent être associés au déploiement de cette application. La commission Numérique commune aux Interconnectés, à l’AdCF et à France urbaine a ainsi remis à Cédric O, secrétaire d’Etat au Numérique, une
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