Dès le 12 mars, jour de l’annonce de la fermeture des écoles, collèges et lycées, les services éducation et petite enfance des collectivités n’ont pas chômé, puisqu’ils ont dû organisé un accueil pour les enfants des personnels soignants, puis contribuer à assurer la continuité éducative en lien avec les services locaux de l’Education nationale.
« Aujourd’hui, notre plus grande inquiétude, c’est le risque de décrochage d’un certain nombre d’élèves face au service public de l’éducation », résume Rozenn Merrien, présidente de l’Andev et directrice de l’enfance à Saint-Denis.
C’est certainement l’un des éléments qui ont mené le président de la République à annoncer la réouverture des écoles le ...
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Gazette des Communes
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