Lundi noir, chute libre, panique… les expressions ne manquent pas pour qualifier l’impact du coronavirus sur les marchés financiers. Le marché pétrolier fortement dépendant de la demande chinoise a été le point de départ de la dégringolade et les marchés boursiers subissent une perte de 20 % par rapport à leur plus haut de février. «Cette plongée entraîne le marché des actions, les marchés des obligations, les marchés de change et l’or analyse Bernard Andrieu, président du cabinet de conseil en finances locales, Orfeor. Pour autant, la modération s’impose, cette crise est conjoncturelle et n’est pas similaire à celle de 2008 ».
C’est également l’avis d’un responsable d’une des banques majeures du secteur : « le marché est en surliquidité et le risque ...
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