En janvier, à Miquelon (600 hab., Saint-Pierre-et-Miquelon), des habitants ont manifesté pour demander une relocalisation de leur village, menacé par la montée des eaux. Plus habitués aux risques naturels, les insulaires semblent plutôt favorables à cette démarche. Ainsi, Le Prêcheur (1 300 hab., Martinique) porte un projet de relocalisation du bourg (300 hab.) sur les hauteurs, en commençant par l’école. Le groupement d’architectes lauréat sera désigné au premier trimestre. Un lotissement a été construit pour reloger provisoirement les résidents.
Aucun projet de loi
Plus modeste, la commune de Quiberville (550 hab., Seine-Maritime) porte aussi un projet de relocalisation. Le camping municipal (3,2 hectares), menacé par la montée des eaux, serait reculé d’environ 500 mètres sur des terres ...
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